VERS LA DERNIERE LIGNE
Marinella Termite
Bari, Edizioni B.A. Graphis
Coll. Marges critiques / Margini critici, n. 4
2006
IL LIBRO
À travers l’appropriation de l’outil critique de la «fin», les écrivains d’aujourd’hui interrogent les limites de l’art en remettant en question la mimésis traditionnelle. Pourquoi chercher et évoquer les espaces liminaires d’un texte en continuelle transformation? Que reste-t-il des mécanismes d’encadrement dans une œuvre ouverte? En creusant les notions problématiques de visibilité et de linéarité autour de la dernière ligne, cette étude analyse les formes d’«illimitation» de l’extrême contemporain et met en place les enjeux de la «fractalisation de l’écriture» au nom des effets de la simultanéité et de la profondeur.
INDICE
Cordes de la narration photographies de Nicoletta Morolla
Objets finis, esprit vagabond de Marie Thérèse Jacquet
... au commencement
I. Une affaire de limites
1. Des limites
1.1. L’effet totalisation entre lecture et écriture
1.2. La visibilité de la clausule
1.3. La fausse clausule
1.4. Des clausules à contrainte
1.4.1. La fin heureuse
1.4.2. L’adresse aux ancêtres
1.4.3. L’artiste clausule
2. Des illimitations
2.1. Parodies de la fin
2.2. Réécritures
2.3. Boucles
II. L’écriture des bifurcations
III. L’écriture par oxymores
IV. L’écriture fragmentée de la cyclicité
4.1. Une écriture par failles
4.2. Une énième faille
V. L’écriture épuisée de l’échec
5.1. De la pensiveté
5.2. Des pratiques de l’inachèvement
5.3. De l’épuisement
5.4. De l’échec
VI. L’écriture de l’infini
... une dernière ligne
Bibliographie sélective
1. En lisant
2. En écrivant
Index des noms
RECENSIONI
Martine Motard-Noar, “Vers la dernière ligne by Marinella Termite (review)”, Women in French Studies, Volume 16, 2008, pp. 157-158.